Une goutte bleue sortie de son encrier

S’est amusée à tracer sur le papier

Des lettres, puis des mots

Pour conjurer certains maux

Que la vie imprime en profondeur

Sur les rives de notre Cœur.

Invite-moi rien qu’une fois

A faire un pas de danse avec toi

Tes bras enroulés autour de moi

Pour qu’enfin je n’ai plus froid

Durant ces nuits où je suis seule

À rêver à un monde sans écueil.

Sentir ton désir flirter avec douceur

Dans le creux de ma candeur

Que mon cou t’offre en faveur

Sur ces notes de bonheur

Allégrement  jouer avec tes mains

Le long de la partition de mes reins

Un air doublé de sensualité

Si langoureux, si envoûté

partager cet air à deux

Les yeux dans les yeux

enivrés par ce tango

qui résonne tout de go

pouvoir prendre la mesure

De nos pas cadencés

Pouvoir entrevoir un futur

Dans nos pas composés

Je veux croire qu’enfin le bonheur

Chante sous nos pas en chœur

Je veux croire qu’enfin ce temps

Est arrivé tout simplement

Invite-moi rien qu’une fois

A faire un pas de danse avec toi

Tes bras enroulés autour de moi

Pour qu’enfin je n’ai plus froid

Durant ces nuits où je suis seule

À rêver à un monde sans écueil.

Quand ma mélancolie à moi me chatouille

Je tire sur le fil de la quenouille

Pour voir si je m’en débrouille

Car en exhumant  mon passé de ces fouilles

Je veux m’assurer  qu’il n’y a plus d’embrouille

Qu’il a bien été distillé tel une liqueur de fenouil

Pour le raconter sans que larme ne mouille

Alors seulement je peux partir à nouveau en patrouille

Apprendre de nouvelles leçons au gré de mes vadrouilles

Angkor......... de mes racines

J’enserre vos palais sublimes

Pour que des hommes de paix

Puissent un jour relater vos faits

Que de querelles de succession

Vous ont fait perdre la raison

Que vos ennemis les Chams

En pillèrent tous les charmes

Dédié à Vishnou à Angkor Vat

Puis à Bouddha en toute hâte

Je m’honore depuis ce jour

Sans aucun acte de bravoure

D’avoir scellé à mon destin

Durant tout ce temps incertain

Ces pierres sculptées à dessein

À la gloire de ce peuple Khmer.

Je me sens toutefois très amère

Que vous ayez voué votre âme

A exterminer des millions d’âmes

Terre souillée de ce sang rouge

Vous avez alourdi votre karma

Haïssables vous les khmers rouge

D’avoir renié la voie de Gautama


   

Marc,

Mon Ami, tes mots m'ont inspiré. Aussi pour te remercier, je veux les offrir aux autres pour qu'ils voient combien tes mots sont beaux. Ils t'ont été insufflés par cette phrase écrite par un inconnu sur un pan de mur.

"Je voudrais aller voir la neige en Afrique"


Les mots de Marc que j'aime

                               Les miens.............

Tous les jours je longe cette merveilleuse déclaration

Tous les jours elle me rappelle que j’ai l’Afrique en passion

Tous les jours je me demande qui m’offre là cette magie

Tous les jours cette phrase me plonge dans mes envies

                          Toutes les nuits tu revois cette douce invitation

                          Toutes les nuits tu rêves de cette Afrique passion

                          Toutes les nuits tu te demandes qu’elle est cette poésie

                          Toutes les nuits tu te sens inspiré par sa magie

Je voudrais aller voir ces peuples qui font l’Afrique belle

Je voudrais être passager dans des couleurs irréelles

Je voudrais plonger dans l’âme de ce continent noir

Je voudrais m’y promener et m’enrichir d’autres savoirs.

                          Tu iras voir ces peuples qui te rendent beau

                          Tu y seras le messager de tes couleurs indigo

                          Tu plongeras ton regard dans l’âme de ce continent Noir

                          Tu t’y promèneras et y apprendras de nouveaux savoirs

Tous les jours au dessus de ces mots des trains passent

Tous les jours je redoute que quelqu’un ce texte efface

Je voudrais qu’un avion me dépose au cœur de l’Afrique

Je voudrais aller dans des pays et des destins authentiques.

                          Toutes les nuits au dessus de ces mots le destin

                          est dans cette rame

                          Toutes les nuits ces mots se gravent dans ton âme

                          Tu fouleras le sol de cette Afrique qui est aussi mienne

                          Tu iras dans ces contrées qu’en des temps reculés fut
                           tiennes.