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    Tôt ce matin, elle est venue déposer son voile un peu comme une caresse qui vous frôle. Légère comme un drap en satin qui recouvre ces corps que les plaisirs ont fini par endormir.  Elle semble vouloir me dire que rien d’inhabituel arrivera mais je la sais assez changeante pour m’en rassurer qu’à moitié.

    Bien que le soleil peine à percer de ses rayons cette brume matinale… je l’a pressens annonciatrice d’une journée pesante. L’air si volubile d’ordinaire semble s’être figé tel un animal  pressentant un danger imminent. Il n’ose avancer ni reculer, il semble hésiter.  Il la devine, il la sait roder non loin, Il la sait savoir où aller....son parcours est déjà tout tracé.

    Elle, elle se fait plus présente, plus oppressante…Elle tourne autour de sa proie comme pour mieux l’étourdir. Sans crier gare, en une fraction de seconde, la voilà se ruant sur moi telle une nuée d’insectes affamée par des temps de disette.J’ai eu beau prévoir sa venue, son attaque est si soudaine que je m’en trouve déstabilisée.

    Déjà les symptômes surgissent ça et là. De minuscules gouttes perlent sur mon front que d’invisibles piqûres auraient pu provoquer.

    Ma respiration se fait plus difficile… l’atmosphère est devenue étouffante.

    Mes yeux bien que protégés sont irrités par cette poussière en suspension. Mes pas cadencés se sont mis en mode ralenti. Aucune brise ne semble avoir été autorisée à longer le trottoir que j’arpente. J'ai l'impression que tout mon corps se trouve confiné dans un micro-onde. Mes habits ont décidé de se coller à moi comme pour aspirer le reste de fraîcheur que mon corps veut désespérément conserver.

    La terre aussi commence à transpirer. Une sueur noire goudronnée essaie tant bien que mal de se frayer un chemin que les pneus des voitures ont tôt fait d'écraser laissant entendre ce bruit si particulier…. celui d’une chaussée résolument collante. Un léger nuage flotte par ondulation au dessus du bitume tel un mirage en plein désert. Ce même nuage qui s'enroule comme une perturbation atmosphérique autour de mes jambes rendant ma  progression difficile . J'ai l'impression de devoir soulever des barres de plomb. Mais cela n'est rien comparé à cette brûlure lancinante que je ressens à la base de mon cou. Je vérifie sans trop d'illusion et constate au toucher que cette partie de mon corps pourrait me servir de plancha ......... le coup de soleil vient d'y élire domicile.

    Je relève la tête pour m'apercevoir que je n’ai plus que quelques mètres à faire pour me réfugier loin d'elle, loin de son accablante présence, loin de sa volonté à vouloir me liquéfier sur place, loin de cette entité brulante qui,si on n'y prend pas garde, peut nous être fatale........et aujourd'hui .......elle l’est......Dame Chaleur .


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    Lisez ceci...
    - New-York City comporte 11 lettres.
    - New-York est l'Etat n°11 des USA.
    - 'The Pentagone comporte 11 lettres.
    - Afghanistan comporte 11 lettres.
    - Ramsin Yuseb comporte 11 lettres.
    - George W. Bush comporte 11 lettres.

    Vous me direz, jusque-là de simples coïncidences ? Alors continuons, et là ça devient vraiment bizarre...
    - Le premier vol à se planter contre les Twin Towers était le vol 11.
    - Le vol nº11 comptait 92 passagers, ce qui donne en additionnant 9 + 2 = 11.
    - Le 2ème vol nº77, comptait 65 passagers, soit 6 + 5 = 11.
    - La tragédie a eu lieu le 11 septembre, soit le 11/9 (1 + 1 + 9 = 11).
    - La date coïncide avec le numéro des urgences 911 or 911 = 9 + 1 + 1 = 11.

    Et maintenant encore plus bizarre...
    - Le nombre de victimes dans les 2 avions s'élève à 254 passagers soit 254 : 2 + 5 + 4 = 11.
    - Le 11 septembre est le 254ème jour de l'année soit : 2 + 5 + 4 = 11.
    - A partir du 11 septembre il reste 111 jours jusqu'à la fin de l'année.
    - Nostradamus (11 lettres) a prévu la destruction de New-York dans son chapitre 11.

    Et voici le plus inquiétant...
    - L'attentat de Madrid qui a tué 209 personnes (2 + 9 = 11) s'est produit le 11.03.2004 = 1 + 1 + 3 + 2 + 4 = 11.
    - Enfin est-il utile de rajouter que les Twin Towers de par leur forme nous rappellent le chiffre 11 et que les trains de Madrid étaient programmés pour sauter à leur entrée en gare au moment où ils se croisaient (11 vu du dessus).



    Coïncidences ou pas... à vous de juger !

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  • DSC01493

     Avant                                                                                                                                    

    J'ai eu le coeur meurtri                     

    J'ai eu l'esprit vidé                                

    J'ai eu des nuits tourmentées                   

    J'ai eu l'âme percée                          

    J'ai eu le coeur affaibli                                     

    J'ai eu l'esprit en errance                               

    J'ai eu des années pour apprendre    

    Pour enfin comprendre                                   

    Pour enfin accepter                                       

    Pour enfin ne prendre                                      

                que l'essentiel                                     

     

                                                 Maintenant

                                                 J'ai le coeur libéré

                                                 J'ai l'esprit serein

                                                 J'ai l'âme transformée

                                                 J'ai la raison pacifiée

                                                 J'ai des sentiments à partager

                                                 J'ai des renoncements désirés

                                                 J'ai l'âme en progression

                                                 C'est ce que je suis devenue

                                                 C'est ce que je veux parfaire

                                                 C'est ce que je veux offrir

                                                 Je m'en réjouis

                                                               chaque jour

     

     

     

     


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  • AUTRES-POESIES-7668.JPG

                            

    J'aime

    J'aime marcher

      Marcher doucement

    doucement pour ne pas

     ne pas manquer tous ses

       tous  ses  trésors  insolites

      Insolites que cette ville  offre 

      offre   à   qui  sait   poser  son

       son  regard  sur   ce  qu'il   croit 

      croit acquis  parce  que  déjà  vu

      vu sans aucun   regard  nouveau

      nouveau  tout  pour  moi    ici l'est

       l'est au bout de tous mes regards

       regards qu' en belles découvertes

     

       découvertes de son  histoire

       histoire de ses architectures

       architectures riche de styles

     

      styles dessinés au fil des siècles

      siècles  inscrits  dans  cette  ville

     cette ville  royale  et  si  impériale

     impériale  pendant son  annexion

    annexion souffrance pour Metz

    Metz  soustraite  à la  France

    France   retrouvée  ensuite

    ensuite  dans  son  giron

    giron liberté retrouvée

     

     

     

     

     Ce texte a été réalisé avec la collaboration de Marc que je remercie car il a su apprivoiser les mots.... surtout les miens


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  •                                        740AA


          Les beaux mots de Marc♥                         Les miens

    Amie sur les rives de ton cœur

    Je te souhaite des mots sans peur

    Des mots sans histoire de malheur

    Des mots qui écrivent le bonheur


     

                                                          Ami sur les rives de mon cœur

                                                          Tu ne trouveras aucune peur

                                                          Des mots seulement remplis de candeur

                                                          Des mots qui te parlent de bonheur

     


    Amie avec cette goutte bleue

    Je te souhaite des mots en son heureux

    Des mots qui ne te rendent rien de douloureux

    Des mots qui oublient tout pour n’être que chaleureux

     


                                                           Ami de cette goutte bleue

                                                           Je t’offre des mots aventureux

                                                           Des mots à partager à deux

                                                           Des mots qui attisent le feu

     

     

     

    Amie tes mots sont merveilleux d’espoir

    Je te le souhaite très vite enfin l’avoir

    D’être heureuse est là ton seul devoir

    Les mots servent souvent à le vouloir

     

     

                                                           Ami tes mots sont comme le miel

                                                           Ils sont doux mais jamais superficiels

                                                           Ils stimulent sans cesse ma poésie

                                                           Ils illuminent les pas de notre vie.




    ♥ Marc est un inconditionnel de la Ville de Metz. Je le sais parcourir sans cesse les rues de cette ville pour nous rapporter de magnifiques photos que je vous invite à aller voir en cliquant sur ce lien Marc de Metz




     

     

     


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