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Par Chronique. le 16 Juillet 2010 à 07:00
Tôt ce matin, elle est venue déposer son voile un peu comme une caresse qui vous frôle. Légère comme un drap en satin qui recouvre ces corps que les plaisirs ont fini par endormir. Elle semble vouloir me dire que rien d’inhabituel arrivera mais je la sais assez changeante pour m’en rassurer qu’à moitié.
Bien que le soleil peine à percer de ses rayons cette brume matinale… je l’a pressens annonciatrice d’une journée pesante. L’air si volubile d’ordinaire semble s’être figé tel un animal pressentant un danger imminent. Il n’ose avancer ni reculer, il semble hésiter. Il la devine, il la sait roder non loin, Il la sait savoir où aller....son parcours est déjà tout tracé.
Elle, elle se fait plus présente, plus oppressante…Elle tourne autour de sa proie comme pour mieux l’étourdir. Sans crier gare, en une fraction de seconde, la voilà se ruant sur moi telle une nuée d’insectes affamée par des temps de disette.J’ai eu beau prévoir sa venue, son attaque est si soudaine que je m’en trouve déstabilisée.
Déjà les symptômes surgissent ça et là. De minuscules gouttes perlent sur mon front que d’invisibles piqûres auraient pu provoquer.
Ma respiration se fait plus difficile… l’atmosphère est devenue étouffante.
Mes yeux bien que protégés sont irrités par cette poussière en suspension. Mes pas cadencés se sont mis en mode ralenti. Aucune brise ne semble avoir été autorisée à longer le trottoir que j’arpente. J'ai l'impression que tout mon corps se trouve confiné dans un micro-onde. Mes habits ont décidé de se coller à moi comme pour aspirer le reste de fraîcheur que mon corps veut désespérément conserver.
La terre aussi commence à transpirer. Une sueur noire goudronnée essaie tant bien que mal de se frayer un chemin que les pneus des voitures ont tôt fait d'écraser laissant entendre ce bruit si particulier…. celui d’une chaussée résolument collante. Un léger nuage flotte par ondulation au dessus du bitume tel un mirage en plein désert. Ce même nuage qui s'enroule comme une perturbation atmosphérique autour de mes jambes rendant ma progression difficile . J'ai l'impression de devoir soulever des barres de plomb. Mais cela n'est rien comparé à cette brûlure lancinante que je ressens à la base de mon cou. Je vérifie sans trop d'illusion et constate au toucher que cette partie de mon corps pourrait me servir de plancha ......... le coup de soleil vient d'y élire domicile.
Je relève la tête pour m'apercevoir que je n’ai plus que quelques mètres à faire pour me réfugier loin d'elle, loin de son accablante présence, loin de sa volonté à vouloir me liquéfier sur place, loin de cette entité brulante qui,si on n'y prend pas garde, peut nous être fatale........et aujourd'hui .......elle l’est......Dame Chaleur .
4 commentaires -
Par Chronique. le 29 Juin 2010 à 11:55
Lisez ceci...
- New-York City comporte 11 lettres.
- New-York est l'Etat n°11 des USA.
- 'The Pentagone comporte 11 lettres.
- Afghanistan comporte 11 lettres.
- Ramsin Yuseb comporte 11 lettres.
- George W. Bush comporte 11 lettres.
Vous me direz, jusque-là de simples coïncidences ? Alors continuons, et là ça devient vraiment bizarre...
- Le premier vol à se planter contre les Twin Towers était le vol 11.
- Le vol nº11 comptait 92 passagers, ce qui donne en additionnant 9 + 2 = 11.
- Le 2ème vol nº77, comptait 65 passagers, soit 6 + 5 = 11.
- La tragédie a eu lieu le 11 septembre, soit le 11/9 (1 + 1 + 9 = 11).
- La date coïncide avec le numéro des urgences 911 or 911 = 9 + 1 + 1 = 11.
Et maintenant encore plus bizarre...
- Le nombre de victimes dans les 2 avions s'élève à 254 passagers soit 254 : 2 + 5 + 4 = 11.
- Le 11 septembre est le 254ème jour de l'année soit : 2 + 5 + 4 = 11.
- A partir du 11 septembre il reste 111 jours jusqu'à la fin de l'année.
- Nostradamus (11 lettres) a prévu la destruction de New-York dans son chapitre 11.
Et voici le plus inquiétant...
- L'attentat de Madrid qui a tué 209 personnes (2 + 9 = 11) s'est produit le 11.03.2004 = 1 + 1 + 3 + 2 + 4 = 11.
- Enfin est-il utile de rajouter que les Twin Towers de par leur forme nous rappellent le chiffre 11 et que les trains de Madrid étaient programmés pour sauter à leur entrée en gare au moment où ils se croisaient (11 vu du dessus).
Coïncidences ou pas... à vous de juger !
4 commentaires -
Par Chronique. le 21 Juin 2010 à 20:10
Avant
J'ai eu le coeur meurtri
J'ai eu l'esprit vidé
J'ai eu des nuits tourmentées
J'ai eu l'âme percée
J'ai eu le coeur affaibli
J'ai eu l'esprit en errance
J'ai eu des années pour apprendre
Pour enfin comprendre
Pour enfin accepter
Pour enfin ne prendre
que l'essentiel
Maintenant
J'ai le coeur libéré
J'ai l'esprit serein
J'ai l'âme transformée
J'ai la raison pacifiée
J'ai des sentiments à partager
J'ai des renoncements désirés
J'ai l'âme en progression
C'est ce que je suis devenue
C'est ce que je veux parfaire
C'est ce que je veux offrir
Je m'en réjouis
chaque jour
6 commentaires -
Par Chronique. le 11 Juin 2010 à 07:00
J'aime
J'aime marcher
Marcher doucement
doucement pour ne pas
ne pas manquer tous ses
tous ses trésors insolites
Insolites que cette ville offre
offre à qui sait poser son
son regard sur ce qu'il croit
croit acquis parce que déjà vu
vu sans aucun regard nouveau
nouveau tout pour moi ici l'est
l'est au bout de tous mes regards
regards qu' en belles découvertes
découvertes de son histoire
histoire de ses architectures
architectures riche de styles
styles dessinés au fil des siècles
siècles inscrits dans cette ville
cette ville royale et si impériale
impériale pendant son annexion
annexion souffrance pour Metz
Metz soustraite à la France
France retrouvée ensuite
ensuite dans son giron
giron liberté retrouvée
Ce texte a été réalisé avec la collaboration de Marc que je remercie car il a su apprivoiser les mots.... surtout les miens
6 commentaires -
Par Chronique. le 2 Juin 2010 à 13:10
Les beaux mots de Marc♥ Les miens
Amie sur les rives de ton cœurJe te souhaite des mots sans peur
Des mots sans histoire de malheur
Des mots qui écrivent le bonheur
Ami sur les rives de mon cœur
Tu ne trouveras aucune peur
Des mots seulement remplis de candeur
Des mots qui te parlent de bonheur
Amie avec cette goutte bleueJe te souhaite des mots en son heureux
Des mots qui ne te rendent rien de douloureux
Des mots qui oublient tout pour n’être que chaleureux
Ami de cette goutte bleueJe t’offre des mots aventureux
Des mots à partager à deux
Des mots qui attisent le feu
Amie tes mots sont merveilleux d’espoir
Je te le souhaite très vite enfin l’avoir
D’être heureuse est là ton seul devoir
Les mots servent souvent à le vouloir
Ami tes mots sont comme le miel
Ils sont doux mais jamais superficiels
Ils stimulent sans cesse ma poésie
Ils illuminent les pas de notre vie.
♥ Marc est un inconditionnel de la Ville de Metz. Je le sais parcourir sans cesse les rues de cette ville pour nous rapporter de magnifiques photos que je vous invite à aller voir en cliquant sur ce lien Marc de Metz
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