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HAIKU - PAUSE D ETE
Deux chaises une table
Les promeneurs elles regardent
Instant savoureuxUne pause café
Dans ruelle ensoleillée
Souvenir d'été
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Commentaires
Bonjour
Heureuse que cette petite pause vous ait été salutaire.. Merci pour votre agréable visite
@micalement
Chronique
Bonsoir,
Voilà, j'ai fait ma petite pausse dans ce joli coin..
merci
Je repars de ce pas moins fatigué vers mon blog
amitiés
Patrick
En effet, cette table est une invite aux regards et tu as très bien sû nous donner l'envie d'y prendre un café !
Un salon de rue d'un mois d'été
dans belle couleur acidulée
offre une pause gaiété
invitation rêvée
Je te souhaite une belle journée
Gros bisous
Chronique
Tu me fais deux haikus en moins de deux minutes......Il faut pouvoir le faire... Moi je dois souvent laisser poser pour avoir une idée..... Là je t'écris pour gagner du temps..... je cherche....
Deux chaises à pied
admirent la devanture
Du lèche-vitrine ?
Bon moi aussi je fais ce que je peux
Moment d'évasion
Ressortir photos d'été
gaité assurée
Je te souhaite un agréable Mercredi
Bisous
Chronique
Bonjour Mireille
J'espère que le soleil sera au rendez-vous........ Si j'arrive la première tu prends un thé ou un café
Gros bisous
Chronique
Cette petite alcove pour amoureux se trouve dans une ruelle de Metz qui est très animé en été....Belle journée à toi.........Amitiés...............
Bonjour Annie
Elle se situe dans la rue Taison à Metz.....Tu veux toujours venir ...
Belle journée à toi
Bisous
Chronique
Savoureux est ce salon de rue !
Il invite à conversations d’été…
Au cœur de la rue Taison…
Peut-être ceci explique chaises vides…
Superbes des mots
Qui, mis à la suite les uns des autres
Font très beaux haïkus
Sans déranger chaises vides.
@mitié de Metz.
Marc de Metz.
Bises de Metz.
Anciennement là
ces chaises sur la terrasse
en bleu d'outremer
J'aime bien ces photos qui permettent de s'évader ..Bonne journée
Dis-moi où se trouve cette table que j'y aille tout de suite!
Je vois que tu t'exerces en beauté pour vendredi!
Bisous Chronique.
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Bonjour, on sort de la ville,
Champs de blé
poésie par Lucian Blaga
Débordant d'or les grains de blé éclatent.
Ça et là des gouttes rouges de pavots
et dans le champ
une jeune fille
aux longs cils comme les épis d'orge.
Elle ramasse du regard les gerbes bleues du ciel
et elle chante.
Allongé à l'ombre des coquelicots,
sans désirs, sans remords, sans repentirs
sans élans, je ne suis qu'un corps
d'argile.
Elle chante
et je l'écoute.
Sur ses lèvres naît mon âme.
Amicalement
Patrick